Communiquer notre foi sur le net ?

Internet et les réseaux sociaux ne cessent d’évoluer. Ils impactent radicalement la manière de chercher des renseignements, d’être informés ou de découvrir de nouvelles idées ou propositions de tous les Belges.

Lors de la formation sur le kérygme du 7 novembre dernier, Nikolaas Sintobin, jésuite des Pays-Bas, a partagé sa réflexion sur la nécessité pour l’Eglise d’utiliser les codes de nos contemporains pour annoncer notre foi. Et cela passe par le monde numérique, où se déroule maintenant une grande partie de nos vie.

Ainsi, d’après Statbel, l’Institut National de statistique de Belgique,  plus de la moitié des Belges vont au moins une fois par jour sur les réseaux sociaux. Parmi les 16-24 ans, ils sont 80%.

Et d’après l’étude annuelle de We Are Social, analysée pour la Belgique par Xavier Degraux, 81,7% de la population est active sur les réseaux sociaux.

En 2021, les Belges y passaient en moyenne 1h34 par jour. Les Belges possèdent 5 à 6 comptes de réseaux sociaux différents. Les principaux réseaux sociaux sont :

  • Facebook : 79,3% des Belges entre 16 et 64 ans utilisent Facebook au moins une fois par mois.
  • Facebook messenger : 72%
  • Whatsapp : 71,4%
  • Instagram : 56,1%
Capture d'écran - les réseaux sociaux les plus utilisés par les Belges entre février 2021 et février 2022 d'après We Are Social

Ces chiffres peuvent nous interpeller en tant que communiquant chrétien.

Dans son intervention Nikolaas Sintobin propose d’agir de manière radicalement nouvelle afin de rejoindre les gens là où ils et elles en sont.

Certains seront enthousiastes, d’autres offusqués… En tant que service communication du Vicariat du Brabant wallon, nous voudrions vous proposer une réflexion et un échange sur les exemples et propositions données par Nikolaas Sintobin.

Nous vous proposons donc de regarder la vidéo et de partager, dans les commentaires, ce qui vous a le plus marqué dans ses propos.

Attention, l’idée n’est pas de juger si ce que propose Nikolaas Sintobin est bien ou mal, mais d’ouvrir une réflexion sur nos pratiques de communication. Et ensemble de voir comment, en tant que communiquant en Eglise, nous pourrions évoluer ou pas.

Nous vous proposons donc d’être bienveillants dans la discussion et de partager votre opinion à la première personne.

Au plaisir de vous lire et d’échanger avec vous !

Isabelle et Nathalie

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